Oh le mauvais jeu de mots, mais je vais le faire. Le nouveau roman de Pierric Bailly m'a foudroyé, bouleversé, ému, pour des raisons évidentes. A chaque nouveau livre du gus, l'émotion est encore plus forte. Les Enfants des autres m'avait scotché, Le Roman de Jim aussi, tandis que Polichinelle m'avait donné le sentiment à l'époque, en 2008, d'être en présence d'un grand de la littérature française. Après sept romans, mon intuition s'est largement confirmée. Et puis, rien à voir, mais comme Pierric Bailly, je porte des casquettes et des sweats à capuche. Bon, je ne lirai pas cinquante bouquins de la rentrée littéraire, pas le temps, pas l'envie, pas tout un tas de trucs. Rien de grave, un bouquin de Pierric Bailly vaut à lui seul toutes les rentrées littéraires. Bien malin celui ou celle qui réussira à m'émouvoir à ce point. Alors, de quoi cause La Foudre ? Du Jura bien sûr, le Haut-Jura en particulier, de la Valserine, de la vallée de Joux,
Chroniques littéraires