Joie et honneur d'accueillir Grégory Le Floch ( Dans la forêt du hameau de Hardt) sur L'Espadon. Il nous parle aujourd'hui d'un livre culte, L'Infinie Comédie, le grand-œuvre de David Foster Wallace. Par Grégory Le Floch L’Infinie Comédie , chef d’œuvre absolu ou vaste blague de 1300 pages ? Presque 20 ans après sa publication aux Etats-Unis, la traduction française parue en 2015 chez L’Olivier permet aux lecteurs français de découvrir ce mastodonte littéraire . Une chose est sûre, ce roman est l’œuvre d’un cerveau atypique – dérangé, diront certains. La structure même du roman a, en effet, de quoi dérouter. 150 pages de notes et errata émaillent le texte et forment à la fin du volume un corps à part entière qui nécessite presque un second marque-page tout en imposant un va-et-vient perpétuel au sein même du roman. Si le lecteur, désorienté par certaines notes comiquement superflues et absurdes, pourrait être tenté de faire l’impasse sur leur lectu...
Chroniques littéraires