Un petit thriller de temps en temps, pourquoi pas. Mieux, on s'est rendu compte qu'on n'en lisait pas assez à L'Espadon. Se laisser prendre par des voix multiples, s'abandonner à des horizons cassés, au suspense d'une narration bien ficelée fait du bien, beaucoup de bien même. Alors, c'est décidé, l'esprit plus léger (ou pas d'ailleurs), on ira fouiner du côté de page turner qui offrent en outre, si possible, l'originalité d'un regard sur le monde. Soyons honnêtes, ça n'est pas trop le cas dans Le code Twyford même si on ne va pas bouder notre plaisir. Un roman de 400 pages assez vif, qui raconte deux histoires en une. D'une part le destin d'un malfrat qui a passé onze ans en prison : son "recrutement", l'origine de ses errances, ses casses, sa chute et sa rédemption. D'autre part, le même personnage qui évoque une révélation à partir de la lecture d'un livre quand il était en cours de soutien pour élèves e
Chroniques littéraires